Show simple item record

dc.contributor.authorOuedraogo, Ramatou
dc.date.accessioned2023-08-28T10:29:51Z
dc.date.available2023-08-28T10:29:51Z
dc.date.issued2022-01
dc.identifier.urihttp://10.176.203.77/handle/123456789/267
dc.description.abstractAu Bénin, on estime que les décès liés aux avortements provoqués et non sécurisés causent entre 15 et 20% des décès maternels.1 Du fait de la restriction juridique et du stigma social autour l’avortement, de nombreuses adolescentes et femmes confrontées à des grossesses non désirées utilisent des méthodes non sécurisées qui mettent en danger leur santé et leur vie. Jusqu’à récemment au Benin, l’avortement n’était autorisé que lorsque la grossesse mettait en danger la vie et la santé de la femme ou en cas de viol, d’inceste ou de malformation congénitale. Bien que le Bénin travaille de manière constante à augmenter le taux de prévalence contraceptive, les grossesses non désirées demeurent récurrentes.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherAPHRCen_US
dc.subjectAdolescenten_US
dc.subjectSexual and Reproductive Healthen_US
dc.titleExpériences de l’avortement au Bénin : déterminants sociaux et parcours de soins dans le département de l’Atlantiqueen_US
dc.typeWorking Paperen_US


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show simple item record