dc.description.abstract | Au Bénin, on estime que les décès liés aux avortements
provoqués et non sécurisés causent entre 15 et 20% des décès
maternels.1 Du fait de la restriction juridique et du stigma
social autour l’avortement, de nombreuses adolescentes et
femmes confrontées à des grossesses non désirées utilisent
des méthodes non sécurisées qui mettent en danger leur
santé et leur vie. Jusqu’à récemment au Benin, l’avortement
n’était autorisé que lorsque la grossesse mettait en danger
la vie et la santé de la femme ou en cas de viol, d’inceste
ou de malformation congénitale. Bien que le Bénin travaille
de manière constante à augmenter le taux de prévalence
contraceptive, les grossesses non désirées demeurent
récurrentes. | en_US |